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Princesse
de
Grèce
et
de
Danemark
par
son
mariage,
Marie
Bonaparte
fut
la
patiente
de
Freud
de
1925
à
1938.
Ses
voyages
entre
la
France
et
l’Autriche
la
conduisirent
à
jouer
un
rôle
d’intermédiaire
entre
les
psychanalystes
français
et
Freud,
dont
elle
fut
la
représentante
à
Paris.
Elle
intervint
personnellement
pour
lui
permettre
de
quitter
l’Autriche
en
1938,
alors
que
ses
œuvres
avaient
été
publiquement
brûlées.
Devenue
l’un
des
membres
fondateurs
de
la
Société
psychanalytique
de
Paris
en
1926,
elle
finança
la
Revue
française
de
psychanalyse
créée
en
1926,
et
joua
un
rôle
important
dans
l’introduction
de
la
psychanalyse
en
France.
Elle
eut
elle-même
des
patients,
et
s’investit
beaucoup
dans
cette
activité
jusqu’à
la
fin
des
années
cinquante.
Fervente
adepte
de
Freud,
elle
traduisit
plusieurs
de
ses
ouvrages
et
articles, dont L'Inquiétante étrangeté
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