Pascale VOILLEY

 

 

Mes parents parlaient couramment anglais, et j’ai commencé à écrire des poèmes dans cette langue dès l’âge de douze ans. L’une des choses que j’apprécie le plus dans le fait d’être bilingue est la conscience de penser différemment, d’avoir un autre rapport aux idées et aux gens selon la langue que j’utilise.

Après avoir passé sept ans en Grande-Bretagne, je vis aujourd’hui à Princeton, dans le New Jersey, depuis 1997.

J’ai soutenu un doctorat sur Raymond Queneau en 1995, et suis l’auteur d’un livre sur Louisa May Alcott, paru aux éditions Belin.

J’ai traduit pour Viviane Hamy Benigna Machiavelli, de Charlotte Perkins Gilman, pour le Seuil  Jacques Tati, sa vie et son art, de David Bellos, pour les éditions Michel Houdiard Une écrasante responsabilité, de William Dean Howells, pour Jacqueline Chambon Loving Graham Greene, de Gloria Emerson, et pur les éditions Interférences Le Vent, de Dorothy Scarborough.

Une de mes passions est de découvrir et de faire partager des textes oubliés qui complètent ou même parfois contredisent l'histoire "officielle" de la littérature.